Il ne faut pas se méprendre sur la conclusion de mon dernier billet. Je ne tire pas un trait sur The campfire headphase, loin de là, mais après plus d'une heure non stop de "rythmiques hip-hop avachies sur lit de clapotis synthétiques, gratouillis de guitares délavées et cui-cui d'oiseau malade "*, écouter Dangerous and moving de T.A.T.U relevait d'une quasi nécessité !
* : je cite Alexis Bernier qui, dans Libération, a écrit un texte splendide sur le dernier Boards of Canada. J'irais même jusqu'à dire ( ce qui n'est pas une première) que le papier est meilleur que le disque et aussi beaucoup moins long .
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1 comment:
Boards Of Canada a commis un deuxième album pathétique, un troisième qui se redresse un peu. Mais le premier était plein de promesses.
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