Monday, February 22, 2010
Tough girls don't cry
Pour son premier passage (ou presque) derrière la caméra, Drew Barrymore l’a joué plutôt profil bas. D’habitude, les actrices (acteurs) qui se découvrent directors sur le tard multiplient les idiosyncrasies. Leurs films font assaut d’originalité, de personnalité mais souvent le public, désarçonné par des histoires tordues ou des cadrages alambiqués (qu’on songe, et nous nous en tiendrons à un seul exemple, au Rat Boy de Sondra Locke), fait la fine bouche. On leur en veut de ne pas faire des films à l’image de ceux qui assurèrent leur succès. La suite est à lire chez mon excellent collègue et ami El Mariako
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