Sunday, April 13, 2014

41-50


41. Everybody's Got to Learn Sometimes (The Korgis) -1980 (Face B : Dirty Postcards)

Une des très rares fois où, en plaçant ce single désarmant d'innocence tout en haut des ventes de 45 tours,  les Français se montrèrent plus pertinents que les Britanniques qui ne le hissèrent, eux, qu'à la cinquième place.
42. Everyday Is Like Sunday (Morrissey) - 1989 (Face B : Disappointed)

Peut-être son plus haut fait d'armes post-Smiths entre dépression balnéaire et nihilisme cioranesque.
43. Everything Is Everything (Lauryn Hill) - 1996 (face B : Ex-Factor)

Puisant dans toutes les ramifications de la musique afro-américaine de la deuxième moitié du vingtième siècle, un single aussi puissant et révolutionnaire que What's Goin'on en son temps.
44. Everything She Wants (Wham) -1984- (Face B : Last Christmas)

Le single qui prouve par A+B que le Grec n'a pas attendu Faith pour être un soul singer de premier plan et la basse est monstrueuse.
45. Expecting to Fly (The Buffalo Springfield) -16 décembre 1967 (Face B : Everydays)

Un hit mineur mais une postérité majeure pour ce titre à mi-chemin entre folk -rock et psychédélisme.
46. Fade to Grey (Visage) -1980 (face B : The Steps)

Diction maniérée, chant ampoulé, paroles françaises hasardeuses mais aussi puissant catalyseur de mes 13 ans que le 41.
47. Family Affair (Mary J. Blige)- 2000 (face B : Your Child)
Le détonateur de ma conversion au R'N'B, l'annonciateur des 3 glorieuses 2001-2002-2003
48. First of May (The Bee Gees)- November 1968 (Face B : Lamplight)
Aussi loin que possible des racines rythm'n'blues et aussi près du Schmaltz qu'il est convenable pour un single pop
49. Foule Sentimentale (Alain Souchon)- 1993 (Face B :Les filles électriques)
Le "Mistral Gagnant" de Souchon, le moment de grâce dans une carrière inégale.
50. Ghost Town (The Specials) -1981 (Face B : Why, Friday night Sunday Morning)
Inner City Blues dans l'Angleterre thatchérienne, chant du cygne hypnotique d'une des plus grande formation britannique

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